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Eau, Bien commun de l'humanité
Forum de l'Eau stand I.D.E.E.S aux Docks du Sud de Marseille 2012
Pas de Gestion de l'Eau sans contrôle citoyen...Exigeons la Gestion publique de l'eau !
Gestion de l'eau, publique ou privée ?
Tout comme l'air que nous respirons, l'eau est un élément indispensable à la vie. Pourtant, l'or bleu reste en proie aux intérêts économiques des entreprises multinationales obsédées par leurs profits...
Dès qu'une commune cherche à remanier sa gestion de l'eau, les deux plus importants groupes mondiaux de l'eau se disputent le marché. Ensemble, ils constituent un oligopole qui pèse sur toute la surface du globe. En France, par exemple, ils approvisionnent près de 80% de la population. Conséquences : hausse vertigineuse des prix à la consommation, baisse de la qualité de l'eau, manque de transparence souvent lié à un climat de corruption. Ainsi, les entreprises multinationales s'accaparent la distribution de cet élément vital et créent ainsi une alchimie déroutante : elles transforment l'eau en argent !
2 enquêtes publiques sont ouvertes, en ce moment (décembre 2021)sur les captages d'eau d’Alos (Jonquières) et Neufs Fonts (Courthézon).
Notre association citoyenne I.D.E.E.S jonquières, Informer Débattre Ecouter Agir Sensibiliser, voit avec satisfaction se concrétiser la prise en compte de la qualité de l’eau potable de nos captages, après l’épisode de forte pollution de 2010 et la mise en place d’un filtre à charbon. La pollution due au terbuméton déséthyl est toujours présente à Jonquières.
L' enquête publique sur le captage des Neufs Fonts prouve que la plateforme GB2 a été construite dans le périmètre rapproché , avec son stockage de produits potentiellement très toxiques ! Celle d'Alos questionne sur notre pollution à Jonquières.
Nous exigeons des réunion publiques pour informer les courthézonnais et jonquiérois sur les servitudes auxquelles ils vont être soumis, ainsi qu'une lecture commentée et accessible sur ces plus de 800 pages d'enquêtes !!
Captage de Jonquières pollué par un herbicide depuis 2010!
On nous a traités d'alarmistes, on a été convoqués à la gendarmerie sur plainte du maire de Jonquières pour avoir publié le taux de pollution à la sortie des écoles (nous n'avions pas signé le flyer !)....mais les pollueurs courent toujours, la pollution perdure !
"Un phénomène ponctuel" nous disait le Préfet de Vaucluse en janvier 2011. Ce phénomène de pollution dure toujours en 2021,
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en 2019 les 20 septembre et 3 octobre , présence d'un sous-produit de dégradation du terbuméton dont la teneur a dépassé la limite de qualité. Si le filtre protège notre consommation, avec quelle qualité d'eau se fait l'arrosage agricole pour ceux qui sont en forage ?
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Septembre 2021 ,
Terbumeton désethyl
toujours présent
Historique de la pollution et de notre engagement citoyen /
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Octobre 2010 notre village connaît son second épisode de non-conformité chimique avec un taux de Terbuméton-désethyl à 0,220 µg/l pour un seuil maximum à 0,1 µg/l . Cette pollution conduit à distribuer de l’eau minérale en bouteilles à la cantine scolaire. Le Terbuméton est un pesticide viticole interdit à la vente depuis 2003 .
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Le 20 décembre 2010, la commune de Jonquières est à nouveau privée d'eau potable. Une pollution de l'eau distribuée par VEOLIA a été détectée grâce à une analyse effectuée par les services de l'Agence Régionale de la Santé.
Cette dernière a décelé la présence d'un pesticide: le terbuméton-desethyl- produit interdit à la vente et à l'utilisation depuis 2003.
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Le 24 décembre, deux représentants de l'association IDEES ont rencontré le Maire de Jonquières pour s'informer de la situation et des mesures envisagées dans l'urgence.
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Le 26 décembre, le bureau de l'association a décidé de porter plainte contre X, auprès du Procureur de la République de Carpentras, pour connaître les causes et les auteurs de cette pollution qui met en danger la santé de nos concitoyens, restera indélébile dans la nappe phréatique, donne une mauvaise image de marque à l'économie agricole de Jonquières.
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L'association I.D.E.E.S Jonquières porte plainte pour déterminer l'origine de la pollution. L'association IDEES exige par voie de pétition, débat public et blog, que soit publié de manière lisible le taux de pollution et obtient gain de cause.
La mairie informe alors la population sur son site et par panneau d’affichage sur la place du village. Mais c’est encore bien insuffisant : pourquoi l’information est-elle si réduite ? Pourquoi faut-il un délai d’un mois entre une analyse et la publication de son résultat ? Durant ce délai, beaucoup de jonquiérois continuent à boire l’eau polluée et mettent ainsi leur santé en danger par manque d’information.
Voici le texte de la plainte :
J'ai l'honneur de vous informer que :
le lundi 20 décembre 2010 à 13 h., une alerte téléphonique de la part de la mairie de Jonquières
prévenait la population d'une pollution de l'eau d'alimentation distribuée par VEOLIA sur la commune
de Jonquières.
En effet, les conclusions du dernier contrôle sanitaire de l'ARS ( Agence Régionale de Santé PACA ) indiquaient :
"eau d'alimentation non conforme aux limites de qualité en vigueur en raison de la présence de
pesticides (herbicide ): terbuméton-desethyl" 0.140 Mg/l. pour 0.100 Mg/l. en limite de qualité
supérieure.
Comment se peut-il que des quantités hors-normes de ces produits interdits à la vente depuis le 1° avril 2003 et à l'utilisation depuis le 31 décembre 2003, puissent se retrouver en décembre 2010 dans la zone protégée de captage des eaux de la commune de Jonquières ?
Quel est l'état de pureté de la nappe phréatique hors-périmètre de protection du captage ?
Dans l'attente de nouveaux contrôles sanitaires réalisés par l'ARS et des travaux de remédiation à cette situation par le fermier VEOLIA et la collectivité de Jonquières, nous subissons de graves préjudices concernant la santé, l'environnement et l'économie.
- Santé : des dizaines de références scientifiques ont étudié des liens possibles entre l'exposition aux pesticides et la maladie du cancer ( prostate, seins, ovaires).
- Environnement : ce type de pesticide se fixe dans les argiles du sol pour un temps très long et sera une nuisance indélébile pour les générations futures.
-Economie : des viticulteurs et des agriculteurs de la région s'fforcent de produire des aliments sains en observant au plus près les principes de la bio-dynamique.
Cette pratique agricole, raisonnée et d'avenir se trouve mise en danger par des pratiques dangereuses et interdites qui salissent le savoir-faire des producteurs du terroir de Jonquières.
Pour ces raisons, nous vous demandons de bien vouloir instruire une plainte contre X, afin de découvrir et sanctionner le ou les auteurs de ce délit.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Procureur de la République, à l'expression de notre considération distinguée.
Pour l'association IDEES (Informer, Débattre, Ecouter, Ecrire, Sensibiliser) Gabriel Soria
2012, nouvel épisode de pollution ! Une solution d'urgence est trouvée, ce sera la pose d'un filtre à charbon ! Mais ....
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250 000 euros d'investissement mais pas de Pollueur/payeur, à la collectivité de payer et aux contribuables !
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Des solutions devaient être envisagées sur le long terme
par la commune en relation avec les communes
voisines de Courthézon, Sarrians, Orange
. Aucune information n'a été donnée à la population, malgré les demandes répétées de Florence Long et Pierre VERGER, élus d'opposition
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Le périmètre de protection du captage des Neufs Fonts toujours en révision 11 ans plus tard !
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Nous nous informons régulièrement du taux de pollution, sur le site de l'ARS et exerçons notre contrôle citoyen !
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La Nappe phréatique est menacée par la construction d'une plateforme de 54 000 m2, autorisanty le stockage de produits hautement toxiques à Grange Blanche !...
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On va encore nous dire que nous sommes alarmistes ! Voir la liste des produits,
autorisés, par la Préfecture sur le blog de SOS Grange Blanche
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